Publiée le par Christian Besse

Avoir ou pas un GPS, ou utiliser un smartphone pour se guider à vélo ?
Certains disent j’ai une application (openrunner, komoot etc.….) sur mon smartphone et c’est très bien, puisque l’écran est grand, donc confortable. En cas de chute avec le vélo, il n’est pas sur qu’il résiste, ni sous la pluie d’ailleurs.
Alors les mots GPS, GPX, traces vous font peur, ce qui suit vous familiarisera avec l’outil.
Le Global Positioning System (GPS) (en français : « Système mondial de positionnement » [littéralement] ou « Géo-positionnement par satellite »), originellement connu sous le nom de Navstar GPS, est un système de positionnement par satellites appartenant au gouvernement fédéral des États-Unis. (source wikipédia)
Vous l’aurez compris, il a pour première mission de vous guider au moyen d’une trace GPX préchargée, mais il est aussi capable de mémoriser vos performances, de vous servir de compteur de vitesse, de suivre les données de votre vitesse de pédalage, de suivre les battements cardiaques, de vous servir de coach etc.….. (les datas)
C’est donc un ordinateur miniature, tout comme votre smartphone. Plusieurs marques se partagent le marché, avec un leader Garmin.
Pour réaliser les tutos qui vont suivre, j’ai utiliser un Garmin Edge 520 plus, mais le fonctionnement reste globalement le même pour les produits plus récents.
Pour communiquer avec un ordinateur, l’installation de programmes (windows et Mac).
Pour se repérer sur votre compte (espace ) Garmin.
Les dossiers importants pour déposer une trace, sur votre GPS, sauvegarder vos activités, importer vos activités dans votre compte, pour les utilisateurs Linux, supprimer vos parcours enregistrés sur le GPS et qui ne vous sont plus utiles, afin de libérer de la place.
Christian